Les chiffres sont accablants : hausse de 21% sur les produits alimentaires, 11% sur les fournitures scolaires, conjugués avec l’augmentation de 10% des tarifs de l’électricité au 1er août, le prix des carburants, les loyers… De l’autre côté de la barricade, le camp présidentiel parle d’abaya pour tenter de masquer le résultat de sa politique