L’« affaire Gautier-Sauvagnac » jette une lumière crue sur le lobbying du patronat en direction des parlementaires. L’Humanité dresse un premier inventaire de ce travail contre la démocratie.
Recrutés à la hâte depuis début octobre par le MEDEF et l’UIMM, les supercracks de la « communication de crise » méritent sans aucun doute leurs salaires mirobolants. 30 000 euros par mois, dit-on, c’est le tarif pour transformer les vessies en lanternes... Sur information du (...)