L’Afrique du Sud, qui a porté cette affaire, a allégué « de graves violences et des actes génocidaires » de la part d’Israël. Elle a dit que la preuve du génocide se trouvait dans le nombre de civils tués par Israël et également dans les déclarations faites par ses dirigeants politiques et militaires, dont le premier ministre, Benjamin Netanyahou.