En présentant l’attaque du 7 octobre comme un « pogrom », on falsifie les faits en les assimilant aux violences perpétrées jadis contre les minorités juives par des majorités chrétiennes. L’objectif est de dénier la réalité, celle d’une situation de résistance (quoiqu’on pense des formes que cette résistance a prises) à une occupation militaire brutale assortie de conditions humanitaires désastreuses