« En temps de guerre, en République, il n’y a plus que la politique de la Convention nationale. Je suis pour la politique de la Convention nationale contre la politique de l’Assemblée de Bordeaux, je suis pour les Parisiens contre les ruraux, je suis pour la Commune de Paris, pour l’une et l’autre Commune, contre la paix, je suis pour la Commune contre la capitulation, je suis pour la politique de Proudhon et pour la politique de Blanqui contre l’affreux petit (...)