Il participe à un défilé d’étudiants contestataires qui veulent l’établissement de la République, ce qui le conduit à la prison de Sainte Pélagie pendant quelques jours durant lesquels il écrit le poème ci-dessous.
Très joli poème de Gérard de Nerval. Mais, n’oubliez pas "La Jeune Captive" d’André Chénier. La prison comme antichambre de la mort par la guillotine ... Une émouvante poésie qui porte un si triste témoignage de ce que fit votre chère dite"République" terroriste, celle dont vous vous réclamez plus particulièrement avec Robespierre, votre référence ! Connaissant votre conception de la liberté d’expression, je doute fort que vous publiez mon commentaire. Surprenez-moi, par amour de la poésie française, mettez sur votre site, aussi, le texte de Nerval.