![]() |
À Paris ce samedi 1ᵉʳ novembre, des militant·es, allié·es et associations se sont réunis pour dénoncer les violences médicales faites aux personnes intersexes et réclamer la reconnaissance de leurs droits fondamentaux. Sous les drapeaux violets et jaunes, les voix se mêlent : celles des concerné·es, des allié·es et des organisations qui refusent que cette cause reste dans l’ombre. Camille, militante intersexe, prend la parole d’une voix calme, mais déterminée : « C’est une lutte qui est invisibilisée, et qui reste invisible, même par rapport aux autres luttes. »