Le 8 août 2005, le gouvernement vénézuélien mettait fin à la collaboration qu’entretenaient ses services de lutte contre la drogue avec leurs homologues étatsuniens de la Drug Enforcement Administration (DEA). La raison invoquée : les agents nord-américains passaient le plus clair de leur temps à des activités d’espionnage au lieu de la dite coopération. La DEA possédait notamment des bureaux au sein même du Bureau National Antidrogue vénézuélien (ONA, en espagnol), auxquels le (...)