En mai 2005, en rejetant la constitutionnalisation des politiques libérales, nous avons dit Non à une Europe qui n’est ni sociale ni démocratique. Notre refus s’est appuyé sur la conviction qu’une autre Europe est nécessaire et possible. Dans la campagne unitaire, des propositions communes avaient déjà émergé. Cette bataille se prolonge aujourd’hui contre la directive Bolkestein, nouvelle illustration de la conception libérale de l’Union européenne qui vise à (...)