Pulvérisation des nations, montée de l’extrémisme de droite, deux phénomènes concomitants qui devraient suffire à prouver que la nation n’est pas la matrice du fascisme, mais que c’est plutôt dans la crise de la nation que la bête immonde se repaît. Les trois informations qui suivent, également inquiétantes, montrent comme se nouent les liens qui sont en train d’étrangler l’Europe.
Histoire belge
Dans le "Monde" en date du 29 avril, on peut lire ceci : (...)