« Le coupable idéal »
L’école va mal, va très mal, et le coupable, c’est lui.
Il a participé au Conseil National des Programmes heureusement disparu, nous dirons qu’il a bradé des savoirs auxquels il ne croit pas.
Il a contribué à mettre en place, y compris au niveau du bac, des formes de « travaux collectifs », nous dirons qu’il s’efforce par tous les moyens de maintenir nos élèves dans l’évitement du vrai savoir.
Il est devenu une référence pour (...)