Pour la première fois depuis la récession de 1992-1993, la richesse créée par les quinze pays de la zone euro a reculé (— 0,2 % au deuxième trimestre). Comme celle du Japon (— 0,6 %). Avec une croissance en baisse et un chômage en hausse, l’économie française s’affaisse ; la rigueur s’annonce. La volatilité des prix des matières premières, de l’immobilier et des monnaies montre la capacité des marchés à « s’adapter ». Mais, moins flexibles, les (...)