La dernière fois que j’ai pris la parole dans cette salle, c’était il y a deux ans et nous avions échoué à désigner un candidat unitaire antilibéral pour les présidentielles. Mais en vous voyant ici, nombreux et enthousiastes, je suis sûr que ce soir nous aurons donné avec succès le coup d’envoi du nouveau Parti de Gauche.
Cette création répond à une nécessité. Beaucoup de nos concitoyens souffrent au quotidien. Certains ont du mal à boucler les fins de mois ou (...)