Bucarest, en mai 1915.
Mon cher Camarade et Ami,
Des circonstances indépendantes de ma volonté ont retardé ma réponse. Cette fois encore, en commençant ma lettre, j’ai failli l’interrompre pour attendre votre brochure sur les conditions de la paix future, dont les agences allemandes annoncent, en même temps que l’apparition, la critique faite par le Vorwärts. Seule la crainte de voir survenir de nouveaux événements, qui interrompraient définitivement les (...)