Obama, personnage plus grand que nature par le libre décret de la presse, est devenu notre superman de carton, notre lutin triomphant à l’écran, qui ne laisse aucune autre place aux lutins coutumiers de la presse et des masses. Obama est désormais le nouveau Michael Jackson qui se déhanche et se dévêt dans les clameurs et le chaos arrangé par le tam-tam bon enfant des mass media jamais aussi bien désigné par ce nom. Tiens, Michael, lui aussi, était noir et faisait danser toute la (...)