Sous son air paisible, sous son apparence de voie bourgeoise, la rue de Solferino, à Paris (septième), abrite, à son numéro 10, siège du Parti « socialiste », un repaire de Rouges écarlates – un nid de communistes comme oncques n’en vîmes depuis les années 1950. Ce n’est pas moi qui le dis : c’est le désopilant député-maire d’Évry (Essonne), Manuel Valls. (Pour ce qui me concerne, je l’avoue : j’ignorais totalement que le dessein secret de François (...)