En 1846, Pierre Dupont écrit cette chanson qui témoigne de l’éveil de la conscience de la classe ouvrière à l’époque.
Le Chant des Ouvriers
Nous dont la lampe, le matin, Au clairon du coq se rallume,
Nous tous qu’un salaire incertain
Ramène avant l’aube à l’enclume,
Nous qui des bras, des pieds, des mains,
De tout le corps luttons sans cesse,
Sans abriter nos lendemains
Contre le froid de la vieillesse.
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