Le consensus mondial libéral est à bout de souffle. Une majorité des États membres des Nations unies se montre de plus en plus réticente à suivre les grandes puissances.
La conférence de l’Assemblée générale des Nations unies consacrée à la crise et à son impact sur le développement qui s’est ouverte mercredi à New York met les pieds dans le plat. À la fois sur la gravité de la crise financière et sur le besoin pour en contrer les effets d’une démarche « inclusive », (...)