Le coup d’Etat militaire du 28 juin au Honduras (qui en réalité avait commencé à la mi-juin, lorsqu’avait été attaquée la voiture transportant le président Manuel Zelaya Rosales) est un ballon d’essai pour les nouveaux schémas putschistes préparés par les Etats-Unis pour cette région.
Du fait que sa méthode de contre-révolution ‘civique’ ne réussit pas à déstabiliser des gouvernements, comme on l’a vu en divers pays d’Amérique latine.
Le président (...)