En réunissant le sommet du G8 sur un champ de ruines, Silvio Berlusconi ne pouvait trouver meilleur symbole de l’état actuel de la planète et de la responsabilité des grandes puissances dans la crise globale.
D’ores et déjà on sait que ce sommet n’aura servi à rien : la sortie de la crise économique et financière sera plus que jamais soumise aux aléas de la météorologie boursière ; quant à la crise écologique, l’objectif pourtant insuffisant de réduction de 50 % des (...)