Nicolas Sarkozy : il est partout. Quel homme !

mardi 24 novembre 2009.
 

Après le mur de Berlin le 9 novembre 1989, on apprend que Nicolas Sarkozy était dans le wagon de Réthondes le 11 novembre 1918.

Je me suis laissé dire qu’il était présent :

* à New York le 11 septembre 2001

* le 6 juin 1944 sur les plages de Normandie

* le 14 juillet 1789 devant la Bastille

* à Marignan le 13 septembre 1515

Malgré sa discrétion légendaire, un témoin nous a même assuré qu’il tenait la chandelle lors de la première rencontre entre Louis XIV et Mademoiselle de La Vallière.

Il participait au mariage de Jacques Martin en août 1984 et dévorait déjà des yeux la mariée, une certaine Cecilia.

Le quotidien Libération a même trouvé la preuve photo de sa présence lors de la genèse.

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(vous pouvez cliquer sur la reproduction ci-dessus pour l’agrandir)

C’est bon de se savoir gouverné par un homme présent sur tous les fronts.

Chobélix

Cependant, l’information la plus importante véhiculée par le web actuellement, est la suivante : ce brave Hongrois Sarkozy de Nagy Bocsa était un agent de la STASI.

Voici le texte envoyé de Berlin au blog de Jean-Pierre Martin :

http://onsefechier-anatic6.blogspot.com/

Nicolas Sarkozy était un agent de la STASI

"Le 9 novembre au matin, nous nous intéressons aux informations qui arrivent de Berlin, et semblent annoncer du changement dans la capitale divisée de l’Allemagne". C’est via Facebook que le président français a décidé de révéler son passé d’agent de la STASI infiltré en France. Ce 9 novembre 1989 au matin, alors que rien ne laisse présager que la chute du mur de Berlin est imminente, Nicolas Sarkozy reçoit des informations confidentielles de son état-major. Il fait alors partie de la petite poignée d’initiés qui sait que le dénouement est proche.

Le désordre qui règne autour de l’aveu du président français marque le désarroi de son entourage. Les rectificatifs succèdent aux démentis. On parle du 10, du 11 et finalement du 16 novembre. Mais l’entêtement du chef de l’État résonne comme un aveu, comme la volonté de se libérer de ce trop lourd passé.

Il faut dire que le coming-out présidentiel éclaire d’un jour nouveau la politique trop grossièrement capitaliste menée depuis mai 2007. Accroître les inégalités, prendre aux pauvres pour donner aux riches, criminaliser la pauvreté, creuser les déficits, démanteler les services publics, supprimer les acquis sociaux : tous les éléments d’une logique ultra-libérale poussée jusqu’à l’absurde avec pour seul but de préparer les français à la révolution bolchévique. "Avec le recul, on voit bien que toute son action s’inscrit dans une volonté de dégoûter le peuple du capitalisme. Il a labouré un terrain propice à la colère et à la révolte. Tous les ingrédients sont réunis pour que ça explose" analyse froidement un député UMP. Et ce matin c’est toute la majorité qui a la gueule de bois.

Comment la supercherie a t’elle pu tenir si longtemps ? Pourquoi les députés, les ministres ont ils suivi aveuglément les ordres fous d’un espion infiltré ? "On n’a rien vu venir, on était comme hypnotisé. Pourtant on en a avalé des couleuvres. Le bouclier fiscal, la taxe professionnelle, les retraites...ça devait soi disant relancer la croissance. Et aujourd’hui on a un déficit et un chômage record ! Il nous a emmenés en klaxonnant droit dans le mur*" gémit un sénateur. Et que dire des journalistes, trop occupés à défendre leur idole ? De Renaud Dély à Étienne Mougeotte, en passant par David Pujadas ou Claire Chazal, ils sont devenus à jamais les idiots utiles du bolchévisme.

Pourtant, il était facile sous la carapace bling-bling de déceler les habits froids du fonctionnaire de police zélé. "Il a un goût presque maladif pour la répression policière. Toute son action politique est marquée par la volonté de réprimer. Il symbolise à lui seul les chars russes dans les rues de Prague. Il avait un plaisir jouissif à voir le nombre de gardes à vue exploser. Il se délectait des récits des bavures policières. Et surtout il voulait ficher l’ensemble de la population. Le fichier Edvige, la biométrie, Base Élèves : l’école est-allemande dans toute sa splendeur" témoigne un fonctionnaire de l’Élysée. Une description qui fait froid dans le dos.

Et maintenant ? Difficile de prévoir la réaction du peuple à cette annonce. La France semble plongée dans la torpeur. Seul, Éric Besson, ministre de l’Identité Nationale, a osé publiquement soutenir Nicolas Sarkozy : "Je tiens à préciser que j’ai toujours été communiste. Si j’ai quitté le parti socialiste c’était pour protester contre son recentrage. Et j’ai une Trabant !".


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