France2 s’est fait une spécialité des émissions politiques truquées. Nous avions déjà eu l’édition du boulanger lambda et fournisseur de l’Elysée et de la propriétaire de café calaisienne abandonnée de tous et militante FN. Cette fois-ci la Salamé est allée un cran plus loin que son illustre prédécesseur, sortant en outre, sans fausse pudeur de la « neutralité » qui devrait habiter tout journaliste digne de ce nom ce qu’elle n’est assurément pas.

La menteuse en chef

Il faut connaître la biographie de la pseudo-journaliste Salamé pour comprendre qu’elle n’est entrée dans cette profession que pour poursuivre et mieux promouvoir les intérêts de sa classe sociale. Avec un papa ancien ministre libanais de la culture, politologue et professeur à sciences pipo paris conseiller spécial des puissants et maman issue d’une famille de diamantaires, la petite léa dispose à la naissance de toutes les clés qui lui permettront de satisfaire à son double désir de célébrité et de défense des intérêts des siens. L’apogée de sa carrière arrive avec l’éviction du fourbe Pujadas dont elle reprend le flambeau ultra-libéral au sein du « service public ». Dès lors, c’est un festival de manipulations et mensonges dans le but de présenter les ténors de l’oligarchie sous leur meilleur jour et peindre les opposants potentiellement dangereux plus noirs qu’ils ne sont en usant de toutes les roueries possibles et en s’asseyant tranquillement des deux fesses sur toute forme de déontologie.

La menteuse du medef

La courageuse mais traumatisée par les prud’hommes, fort opportunément jeune et jolie, chef d’entreprise « lambda » possède contrairement à ce qu’en indique la menteuse léa un pédigrée digne des plus célèbres chefs d’entreprise. Après un parcours scolaire digne d’un wauquier à grand renfort de deniers publics, inscrite au médef, proche de gattaz avec qui elle a voyagé en Inde et partie d’un club de managers huppé au sein duquel, d’autres anonymes comme elle répondant, par exemple aux noms inconnus d’attali, pepy, pigasse, etc, s’être livrée dans la presse libérale à de vibrants plaidoyers pour la destruction des protections sociales et notamment des salariés, la fragile tente de nous tirer des larmes sur la menace que fît peser sur elle un méchant salarié. Fait rarissime relevé par le seul Mélenchon, les prud’hommes lui ont donné gain de cause et à la lecture de son cv, on comprend mieux pourquoi. Comme quoi on peut être chef d’entreprise et se livrer à des manipulations de masse, ce qui en dit long sur l’état d’esprit et la valeur morale de la classe des grands patrons dont on peut assurer qu’elle fera un jour partie. A moins que le nouveau piètre chef de l’Etat ne l’appelle lors d’un prochain remaniement, car elle dispose à n’en point douter de toutes les qualités pour intégrer ce panier de crabes pourri.

La menteuse issue d’une lignée de menteurs

Encore une jeune et jolie menteuse qui a de qui tenir. Papa faisait paraît-il la révolution en Amérique du Sud auprès de célèbres révolutionnaires et que le mauvaises langues accusent d’avoir trahi. Haut fonctionnaire, bon fils d’une lignée d’avocats, conseiller de mitterrand, le papounet a opéré depuis un retour au bercail. Fifille, portée sur les fonds baptismaux par la grande Simone elle-même excusez du peu, a clairement embrassé la cause des puissants et des libéraux de droite atlantistes d’ici ou d’ailleurs. Du Venezuela dont elle revendique la nationalité, elle n’aura fait que relayer une fois de plus les mensonges énormes que même Mélenchon n’a réussi pas à contester clairement, tant la petite léa veillait à ne pas le laisser trop développer un argument. La litanie, sponsorisée par kleenex, avec la mamie de 77 qui doit faire la queue pour le lait, en se levant à 5 heures du matin, n’a pas pu et s’est bien dommage, donner lieu à un démenti en règle, dès lors que nous sommes parfaitement informés que la pénurie est organisée et menée par les états-unis avec la complicité des ennemis intérieurs de la démocratie venezuelienne. De la même manière, la violence de la contestation a été une fois de plus imputée aux autorités venezueliennes alors qu’il est notoirement connu que ce sont les opposants qui ont fait preuve de sauvagerie, allant jusqu’à attaquer une caserne et tuer des policiers.

Enfin, quoi de mieux que de présenter face au grand méchant loup trois jolie jeunes femmes innocentes, diaphanes et fragiles pour mieux mettre en exergue sa prétendue brutalité. Décidément, cette classe n’hésite pas à user de tous les moyens pour endormir les crétins et conserver le pouvoir. Dommage pour eux, leur exposition sur internet les rend transparents aux yeux de tous.

Comme quoi on peut être issue d’un milieu très favorisé, formée aux meilleures écoles, promue menteuse qualifiée sur une chaîne du secteur public rémunérée par nos deniers et être d’une sottise crasse.

Irae