"Je comprends qu’Emmanuel Macron ait peur. Il avait mille fois la possibilité d’arrêter de durcir ce rapport de force. Il semblerait que ce soit trop tard. Il semblerait, à la veille de cette journée de lutte et de convergence du 5 décembre, que nous soyons à un moment de bascule. Entre soulèvement et asservissement."
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