En toute logique, le nombre de manifestants ce 10 décembre n’a pas égalé celui des défilés du 5 décembre, préparés pendant des semaines par les organisations syndicales. Pour autant, avec 885 000 manifestants dans toute la France annoncés par la CGT (contre 1.3 million), cette nouvelle journée de grève se place au niveau des mobilisations contre la loi travail de 2016. Dans plusieurs villes, la fin des défilés s’est conclue par de nouveaux appels à manifester jeudi
À Paris, les organisations syndicales annoncent 180 000 manifestants, contre 250 000 la semaines dernières. La préfecture de police de Paris communique sur 31 000 personnes présentes dans les cortèges.
Hauts-de-France
Lille : 10 000 selon La Voie du Nord
Amiens : 6 000 selon les syndicats (2 500 selon la police)
Douai : 1 000 selon les syndicats (750 selon la police)
Valenciennes : 1 000 selon la police
Calais : 1 000 selon La Voix du Nord
Normandie
Rouen : 5 000 selon la police
Caen : 9 000 selon la CGT (5 000 selon la police)
Le Havre : 5 300 selon la police.
Cherbourg : 4 500 selon les syndicats (2 500 selon la police)
Grand est
Nancy : 2 000 à 4 000 selon Radio France Bleue
Metz : 3 000 à 4 000 selon la police
Strasbourg : 3 000 à 4 000 selon la presse locale
Mulhouse : 1 700 selon les organisateurs, 1 050 selon la police
Dole : 1 000 selon la presse
Épinal : 1 000 selon la presse
Bourgogne-Franche-Conté
Besançon : 3 000 selon la CGT (2 000 selon la police)
Dijon : 4000 selon Radio France Bleue
Belfort : 1 500 selon la presse
Centre-Val-de-Loire
Tours : 10 000 selon des organisateurs (7 000 selon la police)
Orléans : 3 000 selon les syndicats
Blois : 4 000 selon la CGT (2 000 selon la police)
Châteauroux : 1500 à 2000 selon la police.
Pays-de-la-Loire
Nantes : 10 000 selon Ouest France (8 000 à 9 000 selon la préfecture)
Le Mans : 8 000 selon les syndicats (5 000 selon la presse)
Laval : 1 300 selon les syndicats (900 selon la police)
Angers : 3 500 selon Ouest France
Saint-Nazaire : 5 000 selon la presse locale
Bretagne
Brest : 8 000 selon la CGT
Rennes : 10 000 selon les syndicats (7 000 selon la police)
Quimper : 1 500 à 2 000 selon la presse
Lorient : 4000 personnes selon Ouest France.
Nouvelle-Aquitaine
Bordeaux : 10 000 selon les syndicats
Agen : 3000 selon France 3 Aquitaine.
Angoulême : 2 000 selon Radio France Bleue
Périgueux : 3 200 selon les syndicats (2 200 selon la police)
Bayonne : 2000 selon Mediabaskinfo.
Limoge : 5 000 selon la police
Auvergne-Rhône-Alpes
Clermont-Ferrand : 10 000 selon Force Ouvrière (5.500 selon la police, 8 000 selon Radio France bleue)
Lyon : 19000 selon les syndicats (10 000 selon la police)
Grenoble : 15 000 selon la CGT (4 400 selon la préfecture)
Annecy : 4 000 selon les syndicats (1 500 selon la police)
Saint-Étienne : 10 000 selon France 3
Puy-en-Velay : 2 500 selon la police
Chambéry : 3 000 selon les syndicats
Occitanie
Toulouse : 60 000 selon la CGT
Montpellier : 8 000 selon la CGT (6 400 selon la préfecture)
Perpignan : 5 000 selon les syndicats
Béziers : 5 000 selon la CGT (2 500 selon la police)
Nîmes : 8 000 selon la CGT (4 500 selon la police)
Alès : 6 000 selon la CGT (3 000 selon la police)
Sète : 1 000 selon la CGT
Provence-Alpes-Cote-d’Azur
Marseille : 150 000 selon la CGT, 12 000 selon la police. La semaine dernière la CGT annonçait le même chiffre, la police le double avec 25 000.
Nice : 2 300 selon la police
Avignon : 10000 selon les syndicats, 2500 selon la police.
Toulon : Non renseigné
Digne : 1 200 selon le journal La Provence
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