Il commence en exprimant une pensée émue pour les habitants de Mayotte, récemment frappés par un cyclone dévastateur. Il insiste sur la nécessité de préparer nos sociétés aux conséquences du changement climatique. Il souligne que si le cyclone détruit, le sous-développement tue.

Jean-Luc Mélenchon critique ensuite le Gouvernement de François Bayrou, qu’il considère comme non viable, en précisant que son groupe parlementaire est encore moins important que celui de Michel Barnier. Il exige que François Bayrou se soumette à un vote de confiance devant l’Assemblée nationale, sous peine de voir une motion de censure déposée. Il défend la prolongation du NFP, arguant que sa rupture laisserait le champ libre à Emmanuel Macron et au Rassemblement national.

Enfin, Jean-Luc Mélenchon plaide pour une solution politique rationnelle, qui passerait par le départ d’Emmanuel Macron, rappelant qu’il a été battu aux élections. Il cite l’exemple de la Corée du Sud, où un président a été destitué, pour affirmer que la démocratie ne doit pas être négociée en France. Jean-Luc Mélenchon annonce qu’une candidature insoumise sera présentée à l’élection présidentielle, avec l’intention de la proposer comme candidature commune aux alliés, tout en maintenant la liberté de désigner un nom plus tard.