Un sondage IFOP-l’Humanité révèle que 62 % comprennent les séquestrations de patrons et 50 % les menaces de destruction de sites.
S’achemine-t-on vers une banalisation des actions radicales pour s’opposer à une fermeture d’usine ou un plan de licenciements ? L’enquête de l’IFOP- l’Humanité (1) révèle que 44% des ouvriers adhérent à l’idée de séquestrer des patrons (4% les condamnent), soit une progression de 4% par rapport au sondage que ce (...)