Les propos insultants du président de la région Languedoc-Roussillon à l’endroit d’élus montpelliérains ont soulevé l’indignation de toutes les composantes de la gauche.
« Je ne supporte plus le climat de violence et d’intimidation que fait régner Georges Frêche. » Le cri d’alarme émane de Michel Passet, président du groupe communiste au conseil municipal de Montpellier, qui demande une « protection de la police municipale » lors des réunions, après les propos (...)