C’est une provocation, une de plus, à laquelle vient de se livrer le président de la République.
Dans une tribune ultramédiatisée que vient de publier le Monde, il justifie le lancement du débat sur « l’identité nationale » comme une réponse au mal-être des peuples d’Europe, telle que la dernière votation suisse sur les minarets viendrait de l’illustrer. Il s’en prend même avec virulence à tous ceux qui contestent le caractère xénophobe de ce vote, lesquels se (...)