Quatre dirigeants du groupe métallurgique suédois Akers s’apprêtaient à passer la nuit de mercredi à jeudi dans leur usine de Fraisses (Loire), où ils sont retenus depuis la mi-journée par la majorité des 120 salariés.
Les négociations entre la direction d’Akers, un des principaux fabricants mondiaux de cylindres de laminoir, et ses salariés de la région stéphanoise, qui avaient failli aboutir, ont finalement été rompues.
"Nos interlocuteurs sont versatiles, mais je ne leur en (...)