Repassons les faits qui viennent de mettre sens dessus dessous la zone euro. Au mois de décembre, les grandes agences de notations financières – les anglo-saxonnes Standard & Poor’s et Moody’s ainsi que la française Fitch – rétrogradent la note de la Grèce pour sanctionner l’ampleur de son déficit budgétaire (12,7 % du PIB en 2009, et une dette publique atteignant 113% du produit intérieur). Ces mêmes agences n’avaient pas vu venir la crise des « (...)