On sait depuis quelques années que l’analyse d’un ADN humain permet de définir l’ascendance d’une personne, de savoir si ses ancêtres sont majoritairement africains, asiatiques ou européens. Cela nécessite des études approfondies (bien plus que les « empreintes génétiques » pratiquées par la police), et les ascendances ainsi révélées ne correspondent pas à des « races »… D’ailleurs, une telle approche génétique peut aussi différencier, sur la seule base (...)