Enseignant de 35 ans et membre du syndicat professionnel des enseignants kurdes, il a été accusé de « mettre en danger la sécurité nationale » et « inimitié envers Dieu ». Il vivait sous la menace de la peine de mort depuis Février 2008 suite à un simulacre de procès qui a duré moins de cinq minutes. En prison, Farzad a subi des tortures et des pressions psychologiques.