Le premier ministre italien n’en est pas à son coup d’essai.
Déjà en septembre 2003, en plein conditionnement idéologique pour l’engagement italien dans la guerre en Irak, il avait tenté d’absoudre le fascisme de ses crimes historiques déclarant à un journaliste britannique que Mussolini « n’a jamais tué personne. Il envoyait les gens en vacances aux confins du pays », faisant référence sur le ton de l’euphémisme nauséabond aux déportations ordonnées par (...)