« La plus espagnole de toutes les voix », selon Dali, revient à la fin de l’année pour entonner la poésie du continent sud-américain. À soixante-dix-sept ans, ce symbole de l’anti franquisme reste une voix de combat.
Vous venez de présenter en avant-première au festival les Suds à Arles un nouveau répertoire composé de poèmes latino-américains. Au cœur du Théâtre antique, vous avez beaucoup joué avec le silence. Quelle est cette musique ? (...)