Le ministre de l’Intérieur doit s’expliquer sur l’usage disproportionné de la force contre la manifestation pour le droit au logement, légalement déclarée et pacifique, réprimée au point que le porte-parole de l’association Droit au logement, Jean-Baptiste Eyraud, a eu deux côtes cassées et que deux mères de famille se sont retrouvées à l’hôpital.