Au Canada, François Hollande affrontait un des points durs de la négociation sur le climat. Le Canada a décidé de se retirer du protocole de Kyoto en 2011, notamment pour pouvoir exploiter et consommer plus facilement son pétrole des sables bitumineux. En vantant le pétrole canadien, Hollande s’est tiré une balle dans le pied avant sa conférence de l’an prochain.