Oui, il ne faut pas désespérer. Mais, notre travail doit consister bien au-delà d’une discussion dont l’objet resterait le jugement porté sur Tsipras. Ce qui m’intéresse ce sont les conditions de l’échec. Or, je me refuse catégoriquement à réduire celui-ci à la seule « nature » réformiste de gauche (en d’autres temps nous aurions dit « centristes ») ou néo-eurocommuniste du groupe Tsipras.