Je ne vais surement pas participer à la curée pour condamner ces violences spontanées imprévisibles, explicables, de salariés qui ont été poussés à bout, qui sont menacés de 2900 licenciements, qui ont été trop pressurés déjà, et que les médias déchainés (ces médias dorénavant possédés à 95 % par 7 milliardaires) insultent de façon éhontée.