Ce n’est pas la première fois qu’il donne des coups de poignard dans le dos de la gauche et des socialistes en plein combat :
* il avait déjà défendu la loi Fillon sur les retraites contre le vote unanime du parti qui, en plein congrès de Dijon, et dans un pays massivement mobilisé en 2003, proposait de l’abroger... Rocard avait trahi en pleine bataille 66 % de l’opinion populaire qui, jusqu’au bout avait refusé la loi Fillon !
* il avait déjà essayé de (...)