Je pense depuis longtemps que la famille politique dont je suis issu, la « gauche », n’a jamais bien su comprendre et traiter cet aspect global du problème de la pauvreté et des conséquences de son émergence en masse dans les sociétés développées. Je veux dire par là qu’elle n’a pas su donner de perspective au traitement politique de la pauvreté dans une démarche de mobilisation politique des pauvres eux-mêmes.