Le 24 janvier 2024, les Argentines et Argentins sont appelés à une grève générale. La raison de la colère ? Les premières mesures annoncées par le tout nouveau président ultralibéral, Javier Milei, élu en novembre 2023. Un décret de « nécessité et d’urgence », publié le 20 décembre, est techniquement déjà entré en vigueur, mais sous réserve d’approbation ultérieure par le parlement.