Beaucoup de cheminots disent avoir accepté des conditions de travail particulières en échange de l’assurance de pouvoir partir plus tôt à la retraite
Oui, Cyril, 41ans, dont quinze à la SNCF, le dit tout haut. Il se sent « légitime » à défendre sa retraite. Car, dit-il, « quand on est entré à la SNCF, on a accepté tout un tas de contraintes parce qu’on pensait qu’on partirait plus tôt. » Ce cadre, qui a été conducteur de train pendant neuf ans, en convient : on (...)