Les émeutes de Villiers-le-Bel ramènent sur le devant la scène, les banlieues et la politique de la ville. La paix sociale et la paix civile sont atteintes.
Ces émeutes sont l’occasion de se reposer, encore une fois, les mêmes questions qu’en 2005.
Pourquoi la voix des jeunes des quartiers populaires n’est-elle audible que lors de faits d’une exceptionnelle gravité, toujours sur un registre revendicatif et de manière (soit misérabiliste soit par des propos (...)