mercredi 1er octobre 2008
par Jean-Luc Mélenchon, candidat présidentielle 2022
On aurait tort de croire que la crise financière abat seulement le château de carte du capital fictif. Ou qu’elle ridiculise seulement les politiciens de village qui ont couru derrière les compliments des puissants et des gavés. Elle fiche aussi par terre ce qui reste de boniments en faveur du lamentable traité de Lisbonne dont Nicolas Sarkozy oublie de parler dans ses tirades de nouveau guévariste. Il sera bon de l’y ramener ainsi que tous les euros béats de droite et de (...)