Durant le mois de ramadan, les séries télévisées occupent une place centrale dans le monde arabe. Le soir, au dîner de rupture du jeûne, la famille se réunit autour du repas et du petit écran. Dans les années 1990, les séries syriennes ont remplacé les sempiternels feuilletons égyptiens. Mais, aujourd’hui, c’est une production turque qui sème la zizanie dans les couples et pose la question du droit des femmes.
Pour Julian Clec’h« Nour suscite divorces et tensions au sein (...)