1) Un capitalisme moralisé ? Que non !
Les États avaient, en 2008 et 2009, émis des milliers de milliards d’euros pour soutenir les spéculateurs et éviter que l’économie mondiale ne s’effondre. Les dettes publiques avaient, du même coup, atteint des sommets. Aujourd’hui, ces mêmes spéculateurs utilisent les liquidités illimitées mises à leur disposition par les États pour attaquer ces mêmes États, particulièrement ceux qu’ils estiment fragilisés par (...)