C’est un grand classique des mouvements sociaux : des accusations de "provocations" de la part d’éléments policiers infiltrés dans les cortèges de manifestants et se livrant à des dégradations pour décrédibiliser le mouvement.
Le plus souvent confinées aux cercles militants, ces accusations vont cette fois plus loin, puisque le patron du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, les a relayées, affirmant, dimanche 24 octobre, que les policiers avaient "des personnes infiltrées qui (...)