Boucs émissaires jetés en pâture aux plus bas instincts, tandis que postes et tribunaux sont supprimés aussi sévèrement là que dans l’éducation, les magistrats disent « stop ». On se souvient de leurs mouvements de 2008 ou, plus récemment, de la journée du 4 septembre, à l’appel très large des organisations démocratiques et de défense des droits de l’homme, soutenues par les formations de gauche pour défendre les valeurs de la République. C’est bien de cela dont il (...)