2) Pour Sarkozy, la démagogie prime
Le président de la République a tranché sur la prime. Les syndicats la rangent au rayon des annonces électoralistes. Ils demandent des augmentations du smic et des salaires.
« Ceux à qui on a demandé des efforts doivent être les premiers bénéficiaires de (la) reprise. » Avec la « prime », Nicolas Sarkozy se présente comme le chevalier blanc du pouvoir d’achat. Et contre toutes les évidences, il en fait des tonnes. « J’ai vu se dresser devant (...)