« Nous, acteurs du numérique, sommes contre la surveillance généralisée d’Internet ». Ainsi commence l’appel du mouvement « Ni pigeons, ni espions ». De grands hébergeurs comme OVH ou Gandi, des fournisseurs d’accès à Internet, des start-up comme Capitaine Train, des médias comme Libération et Mediapart ou encore des organisations comme le Conseil national du numérique font partie des signataires